Chez nos fidèles compagnons canins, le phénomène de mue survient deux fois par année, lorsque les températures changent au printemps et à l’automne. Celle-ci se caractérise par une chute de poils plus importante conditionnée par l’exposition à la luminosité extérieure. Voici ce qu’il vous faut savoir sur le sujet !
Variation de l’intensité
La chute de poils est particulièrement prononcée au printemps, car votre animal perd son pelage hivernal. À l’automne, par contre, la mue précède la densification et l’allongement des poils. Elle varie d’une espèce à une autre (elle est plus marquée chez les chiens à poil long, notamment), mais aussi selon le mode de vie de votre camarade. Si celui-ci demeure majoritairement à l’intérieur, sa mue peut s’étirer sur toute l’année, puisque les variations de température ont nettement moins de chances de l’affecter.
Gestion des poils
Vous pouvez contrôler les chutes de poils — et éviter de devoir passer l’aspirateur plusieurs fois par jour ! — en prenant soin du pelage de votre compagnon. Brossez régulièrement votre animal avec une brosse ou un peigne adaptés et limitez les shampoings à un par mois environ, et ce, en employant un produit spécialement conçu pour les chiens. Par ailleurs, des soins activateurs de mue peuvent accentuer les résultats du brossage et éliminer plus rapidement les poils morts.
Une chute de poils excessive et anormale peut laisser présager une maladie ou un problème sur le plan de l’alimentation. Au moindre doute, consultez votre vétérinaire !